On parle souvent d’appétit
émotionnel ou de prise de poids à cause du stress et des émotions mal vécues.
La nourriture agit comme une sorte d’apaisement et d’anesthésiant pour passer
au travers de ces émotions.
Mais comment éviter les kilos
émotionnels qui risquent d’apparaître?
La réponse est simple en
théorie: il faut arrêter de manger pour combler certains autres besoins
inassouvis! Votre corps a parfois pris l’habitude d’utiliser la nourriture pour
se protéger de situations ou de sensations désagréables et pour combler certains
besoins. Il va être important de les identifier pour apprendre à les combler
différemment.
Qu’est-ce qu’une émotion ?
Avant de comprendre pourquoi
les émotions nous font manger il est important de savoir qu’une émotion est
juste notre ressenti face à un besoin. Une sorte d’indicateur. Quand le
besoin n’est pas comblé, l’émotion ressentie va être négative- Par exemple, si
on ressent un besoin de tranquillité et que l’on se trouve dans un endroit très
bruyant, l’émotion ressentie sera une certaine colère voir de l’anxiété selon
votre personnalité.
L’émotion est là pour vous
transmettre un message que votre corps est en train de vous dire. Que ce soit
pour du repos, de la tranquillité, de la relaxation ou autre, elle mérite
d’être entendue. C’est en écoutant nos émotions que l’on peut retrouver
l’harmonie corps-esprit et donc diminuer la compensation alimentaire.
Pourquoi mange-t-on par émotion ?
L’être humain possède quatre
besoins de base non physiologique. Lorsque ceux-ci sont inassouvis, le
stress généré peut déclencher un recours à la nourriture pour les combler.
Voici les quatre besoins de
base non physiologiques:
Sécurité et protection : Avoir peur de sortir de sa routine, avoir des habitudes de
vie rigides, avoir peur du changement, être avec quelqu’un pour la sécurité que
cette personne vous apporte, percevoir les imprévus comme des problèmes. Impact sur l’alimentation : manger pour se sentir
plus calme, manger pour s’apaiser, faire des régimes pour sentir qu’on a le
contrôle.
Amour / Connexion et appartenance : Aimer le partage, la connexion avec les autres, la présence
des autres, se donner de l’amour et de la compassion, s’accepter. Impact sur l’alimentation : manger pour se sentir
vivant, pour se connecter avec soi-même lorsque l’on ressent un grand vide
intérieur.
Reconnaissance : Attribuer beaucoup d’importance au regard des autres sur
soi-même, faire des choses pour ne pas décevoir les autres, mettre les autres
en priorité pour ne pas paraître comme une personne égoïste ou une mauvaise
personne. Impact sur l’alimentation : avoir un trouble
alimentaire qui devient une forme d’identité, être reconnu ou vu par les autres
si on a une relation difficile avec la nourriture et son poids (problématique).
Accomplissement
personnel : Variété, se réaliser : C’est le contraire de la sécurité, aimer essayer de nouvelles
choses, percevoir les imprévus comme les épices de la vie. Impact sur l’alimentation : manger pour créer de la
nouveauté ou de l’imprévu dans sa journée (ex: si nous avons eu une journée
monotone au travail), manger pour changer son état émotionnel (ex: tristesse
vers la joie), manger pour combler l’ennui.
Comment arrêter de manger par émotion ?
Comme tout changement, la
première étape est d’en prendre conscience. Il existe plusieurs outils et
exercices pour reconnaître ses besoins et trouver des stratégies pour les
combler sans utiliser la nourriture. L’acte de manger est une stratégie
négative parce que vous ne faites que mettre un pansement sur la plaie.
Reconnaître quels besoins sont
les plus présents chez vous, lesquels dictent vos actions et trouver des solutions
pour les combler sera la stratégie gagnante pour arrêter de manger par émotion
et donc éviter les kilos émotionnels.
Il est fort possible que vous
trouviez cela difficile à réaliser tout seul, c’est pour cette raison que je
propose des séances de coaching et d’hypnose afin de vous aider à gérer vos
différents stress et à vous aider à retrouver une bonne relation avec
l’alimentation et votre corps.
Très souvent les gens pensent, à tort, que la confiance en
soi est un ingrédient que l’on possède ou pas. Hors au contraire, c’est un
processus qui se construit, un cercle vertueux enclenché par le mouvement et l’action.
Plus je me confronte à la situation
que j’ai tendance à éviter, plus j’augmente la confiance en moi et plus j’évolue
positivement. Alors qu’au contraire, plus j’évite d’agir, moins j’ai confiance
en moi et plus le cercle vicieux se met en place. Le fait de ne rien faire ne me
laisse pas dans une situation neutre, ne pas agir alors que j’aimerait le
faire, va inévitablement impacter ma confiance.
Nous ne sommes pas dupes, en nous empêchant
d’agir, nous nous refreinons et cela entache inévitablement notre confiance. Il
est important de mettre en place des résolutions, des petits pas qui au fur et
à mesure du temps vont nous permettre d’avancer dans ce processus et augmenter
notre estime et notre confiance.
Face à une situation, il s’en suit toujours une réaction
cognitive (une pensée automatique) qui correspond à ce que l’on se dit, à nos
croyances face à cette situation. Puis, à partir de cette étape s’enclenche une
réaction émotionnelle (colère, joie, tristesse..) dont va découler un choix
puis un comportement et une conséquence. Plus la confiance augmente, plus nos
réactions cognitives sont positives, plus les émotions qui en découlent sont
vécues comme agréables et plus nos comportements vont venir renforcer cette confiance
grandissante. La spirale positive est enclenchée. Il est important d’implémenter
des petits pas face à ses objectifs et ne pas attendre que « la Confiance »
ou l’image qu’on s’en fait, tombe du ciel.
Il faut savoir que notre besoin de contrôler et de nous
protéger peut porter atteinte à notre confiance en soi dès notre plus jeune
âge. L’exemple d’un petit enfant qui joue à l’équilibriste sur une poutre en
toute confiance et à qui sa mère va hurler : « tu es fou, c’est
dangereux ». Il pourrait en découler une croyance inconsciente du type: « quand
j’ai confiance en moi, je me mets en danger ».
Le besoin de plaire à tout prix afin d’être aimer peut
également diminuer notre capacité à écouter nos besoins et à évoluer dans notre
vie en toute confiance. « Ne dis pas ceci, ne fait pas cela » sont
typiquement des recommandations que les enfants entendent dès leur plus jeune âge
et qui vont finir par impacter leur comportement naturel avec la croyance
sous-jacente : « quand je suis naturel, quand je suis moi-même, je
dérange ». C’est de cette manière que les croyances se créent. Il va en
découler des peurs tels que la peur de ne pas plaire et de ne pas être aimé.
D’où le processus qui s’enclenche afin de mettre en place des comportements
réfléchis, des attitudes calculées pour être aimé et accepté des autres.
Comment arriver à s’aimer et à être soi, si nous cherchons continuellement
à être comme les autres veulent que nous soyons? Le travail commence par
soi-même. Il ne faut pas confondre plaire et être aimé et cela commence par
soi, il faut accepter de se dire « cela me déplait mais je m’aime » ou
encore « mon corps me déplait, mon travail, mon comportement me déplait
mais néanmoins je m’aime ». Ne pas se flageoler ni se juger car quelque
chose ne nous plaît pas.
Plaire n’amène que de l’amour conditionnel, « sous
conditions » et à terme cela peut nous emprisonner dans un rôle. Au final quand
on se sent apprécié alors qu’en réalité on n’a pas été soi même, cela ne nous comble
pas en profondeur. D’où la célèbre phrase de Georges Simenon: « Je
préfère être détesté pour ce que je suis plutôt que d’être aimé pour ce que je
ne suis pas ».
C’est parce que j’apprends à m’aimer que je vais me plaire de
plus en plus et non l’inverse et cela est tout aussi valable pour la confiance
en soi. Ce processus doit venir de l’intérieur et non pas du regard extérieur.
C’est pour cette raison qu’un travail intérieur représente un fondement solide vers
un plus grand amour de soi pour une plus grande confiance en soi.
L’anxiété est un trouble émotionnel qui se
manifeste par un sentiment d’insécurité. C’est donc une émotion causée par une
perception de menace, qu’elle soit réelle ou irréelle, interprétée, pensée ou
vécue. Nous nous intéressons plus particulièrement au cas où la sensation de
peur est belle et bien sans dangerosité actuelle. Malgré le fait que la menace
ne soit pas réelle, l’intensité peut varier d’un sentiment d’insécurité à la
terreur. Les symptômes les plus courants sont les palpitations, une respiration
accélérée, des vertiges, des nausées pouvant aller jusqu’à une impression d’étouffer
ou une impression d’évanouissement qui aboutissent souvent à une peur de
mourir, de perdre le contrôle de soi ou de devenir fou.
Incontrôlable! :
C’est un sentiment irrationnel, activé par les
cerveaux limbique et reptilien. L’anxiété n’est pas atténuée par le fait de
savoir que la situation en question n’est pas dangereuse ou menaçante par les
autres. La simple évocation d’une situation anxiogène déclenche habituellement
une peur anticipatoire. La peur focalise l’attention du sujet qui ne parvient
plus à prendre de la distance et du recul face à ses craintes. L’espace
psychique du sujet est entièrement envahi par l’anxiété.
La réaction principale et spontanée est
l’évitement ou l’esquive face à cette menace perçue. Ceci peut très vite amener
un cercle vicieux qui s’autoalimente: menace perçue, évitement, sentiment
d’impuissance, jugement, baisse de la confiance et de l’estime de soi ce qui va
renforcer le sentiment d’insécurité et fragiliser la personne.
L’hypnose :
Grâce à l’hypnose et au changement rapide* nous
communiquons directement avec le subconscient, siège des croyances et des
programmations limitantes afin de pouvoir agir sur une libération émotionnelle
profonde et durable. Cette libération va permettre dans un premier temps de
pouvoir prendre de la distance et du recul face à ce sentiment d’insécurité.
Cela va permettre au sujet d’atteindre un état de sérénité, de liberté et une
véritable paix intérieure.
L’hypnose n’est pas une nouvelle technique au
contraire c’est une technique de thérapie en médecine et en psychothérapie très
ancienne dont on retrouve des éléments dans les procédés de guérison utilisés
par les Sumériens 3000 ans avant notre ère.
Le changement rapide* :
En plus de ma formation en hypnose elmanienne
au près d’OMNI Training Hypnosis Center, je suis également praticienne du
changement rapide selon la méthode de Frédéric Vincent, créateur du zéro mental
Thérapie.
Le Zéro Mental Thérapie est une méthode de
déshypnose dont le postulat de base, issu de la méditation profonde, est le
suivant : nous sommes toutes et tous d’ores et déjà profondément hypnotisés par
notre mental. Celui-ci crée un flot de pensées, d’émotions, d’idées et de
perceptions auxquels nous nous identifions en permanence. Un peu comme si nous
regardions perpétuellement un film en nous projetant à tel point dans la peau
du personnage principal qu’on en ressent toutes les souffrances. Il s’agit ici,
grâce à la conscience de cette illusion,
d’œuvrer au réveil de ce rêve hypnotique.
Le Zéro Mental Thérapie est particulièrement utilisé en tant que levier
puissant de changement et de reprogrammation mentale ceci avec d’excellents
résultats. Il s’applique donc au travail sur les peurs, les émotions
douloureuses, les blocages, les changements d’habitude, l’amélioration des
performances, l’augmentation de la confiance en soi et le lâcher prise.
BY: Olivia Andrist
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Émotions Besoins
Stress et appétit émotionnel
On parle souvent d’appétit émotionnel ou de prise de poids à cause du stress et des émotions mal vécues. La nourriture agit comme une sorte d’apaisement et d’anesthésiant pour passer au travers de ces émotions.
Mais comment éviter les kilos émotionnels qui risquent d’apparaître?
La réponse est simple en théorie: il faut arrêter de manger pour combler certains autres besoins inassouvis! Votre corps a parfois pris l’habitude d’utiliser la nourriture pour se protéger de situations ou de sensations désagréables et pour combler certains besoins. Il va être important de les identifier pour apprendre à les combler différemment.
Qu’est-ce qu’une émotion ?
Avant de comprendre pourquoi les émotions nous font manger il est important de savoir qu’une émotion est juste notre ressenti face à un besoin. Une sorte d’indicateur. Quand le besoin n’est pas comblé, l’émotion ressentie va être négative- Par exemple, si on ressent un besoin de tranquillité et que l’on se trouve dans un endroit très bruyant, l’émotion ressentie sera une certaine colère voir de l’anxiété selon votre personnalité.
L’émotion est là pour vous transmettre un message que votre corps est en train de vous dire. Que ce soit pour du repos, de la tranquillité, de la relaxation ou autre, elle mérite d’être entendue. C’est en écoutant nos émotions que l’on peut retrouver l’harmonie corps-esprit et donc diminuer la compensation alimentaire.
Pourquoi mange-t-on par émotion ?
L’être humain possède quatre besoins de base non physiologique. Lorsque ceux-ci sont inassouvis, le stress généré peut déclencher un recours à la nourriture pour les combler.
Voici les quatre besoins de base non physiologiques:
Comment arrêter de manger par émotion ?
Comme tout changement, la première étape est d’en prendre conscience. Il existe plusieurs outils et exercices pour reconnaître ses besoins et trouver des stratégies pour les combler sans utiliser la nourriture. L’acte de manger est une stratégie négative parce que vous ne faites que mettre un pansement sur la plaie.
Reconnaître quels besoins sont les plus présents chez vous, lesquels dictent vos actions et trouver des solutions pour les combler sera la stratégie gagnante pour arrêter de manger par émotion et donc éviter les kilos émotionnels.
Il est fort possible que vous trouviez cela difficile à réaliser tout seul, c’est pour cette raison que je propose des séances de coaching et d’hypnose afin de vous aider à gérer vos différents stress et à vous aider à retrouver une bonne relation avec l’alimentation et votre corps.
BY: Olivia Andrist
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Confiance en soi
Très souvent les gens pensent, à tort, que la confiance en soi est un ingrédient que l’on possède ou pas. Hors au contraire, c’est un processus qui se construit, un cercle vertueux enclenché par le mouvement et l’action.
Plus je me confronte à la situation que j’ai tendance à éviter, plus j’augmente la confiance en moi et plus j’évolue positivement. Alors qu’au contraire, plus j’évite d’agir, moins j’ai confiance en moi et plus le cercle vicieux se met en place. Le fait de ne rien faire ne me laisse pas dans une situation neutre, ne pas agir alors que j’aimerait le faire, va inévitablement impacter ma confiance.
Nous ne sommes pas dupes, en nous empêchant d’agir, nous nous refreinons et cela entache inévitablement notre confiance. Il est important de mettre en place des résolutions, des petits pas qui au fur et à mesure du temps vont nous permettre d’avancer dans ce processus et augmenter notre estime et notre confiance.
Face à une situation, il s’en suit toujours une réaction cognitive (une pensée automatique) qui correspond à ce que l’on se dit, à nos croyances face à cette situation. Puis, à partir de cette étape s’enclenche une réaction émotionnelle (colère, joie, tristesse..) dont va découler un choix puis un comportement et une conséquence. Plus la confiance augmente, plus nos réactions cognitives sont positives, plus les émotions qui en découlent sont vécues comme agréables et plus nos comportements vont venir renforcer cette confiance grandissante. La spirale positive est enclenchée. Il est important d’implémenter des petits pas face à ses objectifs et ne pas attendre que « la Confiance » ou l’image qu’on s’en fait, tombe du ciel.
Il faut savoir que notre besoin de contrôler et de nous protéger peut porter atteinte à notre confiance en soi dès notre plus jeune âge. L’exemple d’un petit enfant qui joue à l’équilibriste sur une poutre en toute confiance et à qui sa mère va hurler : « tu es fou, c’est dangereux ». Il pourrait en découler une croyance inconsciente du type: « quand j’ai confiance en moi, je me mets en danger ».
Le besoin de plaire à tout prix afin d’être aimer peut également diminuer notre capacité à écouter nos besoins et à évoluer dans notre vie en toute confiance. « Ne dis pas ceci, ne fait pas cela » sont typiquement des recommandations que les enfants entendent dès leur plus jeune âge et qui vont finir par impacter leur comportement naturel avec la croyance sous-jacente : « quand je suis naturel, quand je suis moi-même, je dérange ». C’est de cette manière que les croyances se créent. Il va en découler des peurs tels que la peur de ne pas plaire et de ne pas être aimé. D’où le processus qui s’enclenche afin de mettre en place des comportements réfléchis, des attitudes calculées pour être aimé et accepté des autres.
Comment arriver à s’aimer et à être soi, si nous cherchons continuellement à être comme les autres veulent que nous soyons? Le travail commence par soi-même. Il ne faut pas confondre plaire et être aimé et cela commence par soi, il faut accepter de se dire « cela me déplait mais je m’aime » ou encore « mon corps me déplait, mon travail, mon comportement me déplait mais néanmoins je m’aime ». Ne pas se flageoler ni se juger car quelque chose ne nous plaît pas.
Plaire n’amène que de l’amour conditionnel, « sous conditions » et à terme cela peut nous emprisonner dans un rôle. Au final quand on se sent apprécié alors qu’en réalité on n’a pas été soi même, cela ne nous comble pas en profondeur. D’où la célèbre phrase de Georges Simenon: « Je préfère être détesté pour ce que je suis plutôt que d’être aimé pour ce que je ne suis pas ».
C’est parce que j’apprends à m’aimer que je vais me plaire de plus en plus et non l’inverse et cela est tout aussi valable pour la confiance en soi. Ce processus doit venir de l’intérieur et non pas du regard extérieur. C’est pour cette raison qu’un travail intérieur représente un fondement solide vers un plus grand amour de soi pour une plus grande confiance en soi.
BY: Olivia Andrist
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Comment se libérer de l’anxiété ?
Définition :
L’anxiété est un trouble émotionnel qui se manifeste par un sentiment d’insécurité. C’est donc une émotion causée par une perception de menace, qu’elle soit réelle ou irréelle, interprétée, pensée ou vécue. Nous nous intéressons plus particulièrement au cas où la sensation de peur est belle et bien sans dangerosité actuelle. Malgré le fait que la menace ne soit pas réelle, l’intensité peut varier d’un sentiment d’insécurité à la terreur. Les symptômes les plus courants sont les palpitations, une respiration accélérée, des vertiges, des nausées pouvant aller jusqu’à une impression d’étouffer ou une impression d’évanouissement qui aboutissent souvent à une peur de mourir, de perdre le contrôle de soi ou de devenir fou.
Incontrôlable! :
C’est un sentiment irrationnel, activé par les cerveaux limbique et reptilien. L’anxiété n’est pas atténuée par le fait de savoir que la situation en question n’est pas dangereuse ou menaçante par les autres. La simple évocation d’une situation anxiogène déclenche habituellement une peur anticipatoire. La peur focalise l’attention du sujet qui ne parvient plus à prendre de la distance et du recul face à ses craintes. L’espace psychique du sujet est entièrement envahi par l’anxiété.
La réaction principale et spontanée est l’évitement ou l’esquive face à cette menace perçue. Ceci peut très vite amener un cercle vicieux qui s’autoalimente: menace perçue, évitement, sentiment d’impuissance, jugement, baisse de la confiance et de l’estime de soi ce qui va renforcer le sentiment d’insécurité et fragiliser la personne.
L’hypnose :
Grâce à l’hypnose et au changement rapide* nous communiquons directement avec le subconscient, siège des croyances et des programmations limitantes afin de pouvoir agir sur une libération émotionnelle profonde et durable. Cette libération va permettre dans un premier temps de pouvoir prendre de la distance et du recul face à ce sentiment d’insécurité. Cela va permettre au sujet d’atteindre un état de sérénité, de liberté et une véritable paix intérieure.
L’hypnose n’est pas une nouvelle technique au contraire c’est une technique de thérapie en médecine et en psychothérapie très ancienne dont on retrouve des éléments dans les procédés de guérison utilisés par les Sumériens 3000 ans avant notre ère.
Le changement rapide* :
En plus de ma formation en hypnose elmanienne au près d’OMNI Training Hypnosis Center, je suis également praticienne du changement rapide selon la méthode de Frédéric Vincent, créateur du zéro mental Thérapie.
Le Zéro Mental Thérapie est une méthode de déshypnose dont le postulat de base, issu de la méditation profonde, est le suivant : nous sommes toutes et tous d’ores et déjà profondément hypnotisés par notre mental. Celui-ci crée un flot de pensées, d’émotions, d’idées et de perceptions auxquels nous nous identifions en permanence. Un peu comme si nous regardions perpétuellement un film en nous projetant à tel point dans la peau du personnage principal qu’on en ressent toutes les souffrances. Il s’agit ici, grâce à la conscience de cette illusion, d’œuvrer au réveil de ce rêve hypnotique.
Le Zéro Mental Thérapie est particulièrement utilisé en tant que levier puissant de changement et de reprogrammation mentale ceci avec d’excellents résultats. Il s’applique donc au travail sur les peurs, les émotions douloureuses, les blocages, les changements d’habitude, l’amélioration des performances, l’augmentation de la confiance en soi et le lâcher prise.